Quand les ultra-marathoniens et les ultra-traileurs se mettent à la spiruline…


Figures mythiques de l’athlétisme, les pratiquants de l’ultra-marathon et de l’ultra-trail imposent le respect. Ces athlètes de première catégorie naviguent avec peu de couverture médiatique, reconnus du public seulement grâce à l’apposition d’un préfixe « ultra- » à des mots plus connus.

L’ultra-marathon et l’ultra-trail : des sports durs

En termes pratiques, qu’est-ce qu’un ultra-marathon ? Il y en a de tous types, généralement conçus pour être durs, très durs. Les limites physiques de l’être humain sont repoussées à chaque compétition.

Athlète courant un Ironman à Hawaï - plus de spiruline ça serait encore mieux ! Credits: CC-by by Chris McCormack, running at MACCA Ironman Hawai'i 2010 https://www.flickr.com/photos/maccalive/5217860123/

Prenez par exemple l’ultra-marathon de Badwater, aux États-Unis : 217 kilomètres dans la Vallée de la Mort, avec un dénivelé montant de 5 800 mètres et des températures dépassant les 50°C à l’ombre. Avant d’être au point et de le remporter à deux reprises, Scott Jurek, comme tant d’autres sans doute, a fini plusieurs éditions tout simplement repêché à la petite cuillère.

… où les stratégies nutritionnelles revêtent une importance incontestable

Dans ces disciplines d’ultra-athlétisme, les stratégies d’approche du terrain sont très particulières. Le corps humain est poussé à bout et à ces niveaux d’intensité physique, la qualité de l’alimentation va avoir un impact énorme sur la qualité de la course.

Courir en s’alignant des séries de pizzas ou de steaks paraissait initialement être une bonne stratégie, voire une quasi-nécessité calorique pour ces disciplines. Mais le revers de la médaille est vite apparu : sur un tel régime physique, la nutrition prend une importance renouvelée et il ne faut rien laisser au hasard. Un coureur gagnant ce n’est pas simplement un coureur qui arrive une fois à remporter une course, mais un coureur qui minimise les inflammations, le risque de blessures et améliore la récupération après effort d’un corps très sollicité.

La tendance actuelle est donc à privilégier autant que possible des aliments peu inflammatoires voire anti-inflammatoires, avec une multitude de grands athlètes de la discipline allant jusqu’à adopter des régimes intégralement végétaliens. Dans tous les cas, la grande mode est à la spiruline, l’aliment ergogène et anti-inflammatoire par excellence.

Ce choix c’est celui de Scott Jurek ou encore de Brendan Brazier, deux légendes incontestées de la discipline. Ils consomment l’algue des sportifs et en parlent autour d’eux, c’est plutôt bon signe…

Vers une diffusion de la spiruline chez les athlètes de haut niveau

Dans nos contrées, l’ultra-trailer Seb Chaigneau est aussi consommateur. Dans son palmarès, on note une 1ère place à l’Olympus Marathon de 2010 et deux 1ers titres au Lybian Challenge (rien de moins que 196 kilomètres de désert en auto-suffisance alimentaire, en non-stop évidemment…).

Mais mon exemple favori, qui paraît presque nous donner espoir d’un jour se réveiller sportif d’exception me vient de la personne de Rich Roll. Cet Américain est passé de mollasson en surpoids à coureur d’Epic 5 en 6 mois. L’Epic 5 ? Il s’agit de réaliser Ultra man – soit : 10 km de nage en océan, 421 km de vélo en cross-country, 84 km de course à pied. Reprenez ces chiffres… 5 fois en 1 semaine !

Je ne prétends évidemment pas à une relation de cause-à-effet mais il y avait de la spiruline dans tout ça

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